préface de l'âme

Samedi 20 juin 6 20 /06 /Juin 23:59
La soumission. Drôle de comportement auquel tous être humain est sujet en permanence de par ça nature. L'homme nait libre. Comme l'arbre nait libre. libre et enchainé à ces besoins et au sol. Ce paradoxe n'est-il pas tordant ? Libre de subir ce qui était déja là avant lui. Libre comme l'air qui reste enchainé à la planète par les loi de la gravité. Libre comme l'espace infinie qui s'étend dans un néant qui le définit. Comble de l'illusion. Ce qui est. n'est que parce qu'il est soumis. être, c'est se soumettre pour être considéré. Je ne suis rien et je n'ai besoin de rien. Venerez moi comme un monument à la liberté. Ou haissé moi comme un mémorial à l'abandon. Je m'en contre fout. Il a fallut un néant pour contenir l'espace, Une énergie pour contenir la matière, un corp pour contenir mon âme. Et aujourd'hui qu'est ce qui me retiendra ?
Par Janus - Publié dans : préface de l'âme
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Lundi 15 juin 1 15 /06 /Juin 15:14
La mer est un monstre magnifique.
Merveille de la nature elle n'a pas de frontière.
Elle est libre de s'étendre jusque sur les plages.
Ramassant ce qui lui plait et chariant toute sorte de coquillage.

Encore plus libre. Le ciel.
Qui composé d'oxygène est présent en toute chose.
Il se pare de millier de couleur .
Ne connaissant aucune frontière.
Il glisse le long de la peau, imprenable.
Si doux et agréable il nous donne la sensation de flotter.
Irrissant parfois notre peau comme pour déployer nos ailes.
Il est subtile et délicat.

Tout ceci est magnifique

Sentez vous le courage et la force qu'inspire ces élements.

Maintenant, si vous vous sentez assez fort.
Déployé donc votre âme pour profiter de mes mots.
Et si vous vous sentez troublé par mes mots.
Je vous pris de vous accrocher, jusqu'au bout.
Je vous fait la promesse d'un cadeau.


L'être que je suis a bien choisis ses pas.
L'un aprés l'autre. Et peu de choses m'on bléssés. Il n'y a que quelques sentiment humain qui son réelement bléssant. La peur, la douleur, le regret. Pourtant c'est en réalité pour ressentir l'impuissance a briser les limites que mon esprit à modélisé ses sentiments. Véritable signal d'alarme de l'âme. Ce n'est que l'expression de quelque chose de bien plus humain. La conscience. Qui comme un guide, nous permet d'apprendre, de comprendre, et d'anticiper.
A l'image du temps qui suis son cour enchainant passé présent et futur à un rythme érfainé.
Mais dans un plan ou le passé est fixe voir même néant, un plan où le futur est indéterminé et infinie. Que peut on espérer de l'amalgame qui lie les deux. Mélange de ces deux monstres de perfection capable de voir naitre en leur sein des notions inconnues de la physique. Si rien ne se crée et si rien ne disparait. Ou est donc mon passé et que fais donc mon futur ?
Comment se satisfaire de ces limites qui nous prennent à la gorge et noie notre conscience. Ou est la liberté quand le passé est fixé et le futur si vaste. A chaque pas c'est un tapis de ronce qui m'attend et avec le chemin parcouru c'est autant de roncier qui se dressent dèrriere moi.
Une direction, et prés de 7 milliard de chemins. La toile ce tisse encore et encore.
Et le but reste toujours le même donner l'illusion d'une toile parfaite. Chaque brin s'entrelace puis se sépare, formant un tapis aux motifs étranges. Lorsque l'on regarde cette oeuvre on aperçois les dérives du temps. Les brins qui au fil du temps ont perdu leurs couleurs. Ceux qui on laisser des trous dans la toile. Et ceux qui tellement abimé par la dureté de certains ne peuvent plus se frotter au autres sous peine de s'efilocher pour de bon.
Pourtant il n'y a personne au commande de cette toile. Chaque brin prend la direction qu'il veut. Choisissant tel ou tel trajet, pour tel ou tel raison. C'est cela qui a toujours fait defaut. L'illusion d'égallité. Les hommes naissent égaux. Est-ce vrai ? existe t'il un moyen de faire une lanière de cuir d'un brin de soie. Et le cas échéant, peut on faire les mêmes chose de cette lanière de cuir que celle que l'on aurai pu faire de ce brin de soie 

Merci à toi qui m'a ouvert les yeux.
 
Par Janus - Publié dans : préface de l'âme
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Samedi 13 juin 6 13 /06 /Juin 14:48
La vérité est une lumière qui éclaire nos pas.

Mais le vampire moderne la craint bien plus que n'importe quoi.

J'ai souvenir du flux acide qui remonte mes entrailles, de la pression qui s'impose dans mon crâne poussant mes yeux au frontière de mes paupières.
Des muscles qui se redissent au moment du passage de ce poison dans les veines.
Même le coeur n'est pas épargné.

 Et ces mots qui s'accumulait derrière mes lèvres, comme un venin qui ne demande qu'à jaillir dans les chaires de la victime...

Mais le plus terrible c'est la douleur de cette vérité qui tire le monstres du luxe de ça lumière artificiel et satiné.
Mettant à nue ses chaires.
Dévoilant la nature de son coeur aux autres.


 Mais surtout à lui même.

Au final dois-je me réfugier sous cette lumière artificiel ou laisser les autres m'en tiré quand eux ne supporterons plus l'odeur de la bête. Car il n'y as bien que son odeur que l'on supporte sans réagir.
Par Janus - Publié dans : préface de l'âme
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Vendredi 12 juin 5 12 /06 /Juin 03:30
Petit cycle éphémère qui dévore mon sommeil par la douleur lancinante du passé.
Sur une simple pensé.
Je ressasse nos corps qui se débattent sous la lune.
 Jamais assez proche.
Nos baisés, nos étreintes, nos sourires.
Nos querelles, nos promesses, nos souvenirs.
Où sont vos faux pas. Et qui me les a montrés.
Je ne m'en souvient plus.



Déjà deux blessures, et aucune cicatrice.
Deux coups de couteau portés par la victime,
avec en cadeau une cigarette pour cautériser la plaie.
Ne laissant aucunes possibilités aux miettes purulentes de s'égrainer.
Nourrissant ainsi l'abcès qui gangrène le coeur.

Si le premier coup n'a pas était fatale. Comble du sadisme.
Le deuxième, porté pendant les soins, n'a était que plus jouissif.

L'inconscient ma déjà poussé au suicide.
Mais ma conscience me l'interdit.


Quand le feux et la glace cohabite.
Le corps devient un champs de bataille qui ne pardonne pas.

Et pourtant le jeux n'était que plus attrayant de part la sincérité des opposants.

Mais de là à réécrire deux fois la même histoire...

Par Janus - Publié dans : préface de l'âme
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Jeudi 11 juin 4 11 /06 /Juin 18:12
  je ne te regarde pas. je savoure


Peut importe mon nom et d'où je viens.
Ce qui compte, c'est ce que vous lirez.
Ce que vous découvrirez.
Et le jugement que vous lui porteraient.
  Je vais vous laisser observer le labyrinthe qui rythme mes journées et me ronge.

Bonne apétit

 
Par Anonyme - Publié dans : préface de l'âme
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