Vendredi 3 juillet 5 03 /07 /Juil 23:48
Terrible idée que grandir.
Responsabilité, obligation... et j'en passe.
Mais qu'est ce donc que grandir aujourd'hui.
On vois tellement de gens dépendant de ceci ou celà... Ou est la vérité.
Doit on profiter de tout, tout le temps.
Dois je baiser à droite à gauche sur un coup de tête...
ou alors vider mon esprit et suivre mon instinct.
Ange ou démon...
Qui suis-je ? et y accorde ton une réel importance...
Je m'en fout, demain sera un autre jour ???
J'ai envie d'aimer, de resté au cotés d'une personne.
J'ai envie d'être libre.
Qui suis je celui qui te prendra dans ces bras ou celle qui se blottira contre toi. Ou est la réel liberté du choix tant que je suis bien à la place ou je suis ???
aujourd'hui je t'ai croisé et je ne suis pas insensible...
demain je saurais si c'est bien toi que je veux...
Et si tu ne veux pas de moi, ne te tracasse pas. Nous somme des milliards et tu n'est qu'une personne.
Aujourd'hui je t'aime demain j'en aimerai d'autres. Tu n'as rien à faire à mes coté ? Tu ne snt pas la même chose ? Suite...
Ce que je cherche ne changera pas du jour au lendemain et viendra du fond de l'âme; et non d'un quelquonque organe soumis à la raison ou aux sens...
Par Janus
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Lundi 22 juin 1 22 /06 /Juin 10:26
Ce matin le reveil n'a jamais été aussi brutale.
Aprés une nuit à la belle étoile j'ai cédé au tabac.
Je suis partie acheter mon petit dej, la boulangerie était fermé. Je suis donc aller le chercher au super marché. Promotion sur les mini viennoiserie. Nikel ! bureau de tabac, cigarette, crac ! Mon coeur ce tend, et c'est parti.

Depuis ce matin je ne pense qu'à cette ange. Pourquoi suis-je partie à l'aventure ainsi sans retenir cette pulsion.
Saloperie de bestiole qui ronge mon âme...
Je suis au comble de la nervosité et je brûle de l'interrieur.
Mais l'image de l'ange que j'ai croisé dernièrement m'a pris au coeur et ce dernier est au bord de l'explosion.

Il faut vraiment que je me débarasse de cette saloperie. Mais il n'est pas évident d'abandonner ce que l'on apprécis. L'ange que j'ai croisé en est l'exemple. Je ne sais pas comment l'atteindre. Mais il me parait pourtant si adapté à ce que je suis. Il n'est pas encore exactement fais pour moi. Mais je saurais ce qui nous séparent. Avec beaucoup de patiente.
Et lorsque je le connaitrai convenablement je saurais si nous somme compatible. Vais je devoir le perdre cette fois-ci pour savoir... Je ne l'espere pas.

Revenons à cette bête qui m'habite. L'être humain est un monstre. Qui n'à de cesse de ronger. Ainsi nous tirons notre énergie d'un parasite phagocité il y a plusieur millions ou milliards d'années. Comme tous ce qui est, nous puisons notre energie de quelque chose. Que ce soit chaleur,lumière ou matière. Et ces derniers temps mon corp consomme des quantité de matière, de lumière et de chaleur impressionnante. Je ne sent même pas le passage en hiver tellement mes sens sont saturés. Il n'y a que la lune qui solicite encore mon comportement. Je suis tellement à bout que j'ai l'impression d'être au bord de la crise cardiaque en permanence. Et la seul chose que je trouve intelligente à faire est de rajouter une clope dans la cocotte minute pour faire monter la pression. Qu'est ce que j'aimerai pleurer un bon coup pour me remettre d'aplomb.

J'en connais d'autre qui pour moins on répendu leur sang. Et certains on même tuer... Mais je n'ai pas envie d'emmerder les autres à ce point. J'ai déja essayer les médicament pour voir l'effet du corp qui ce laisse partir, mais c'étais un acte purement conscient. Je n'ai pris que le strict nécéssaire pour faire un arret cardiaque de courte durée et ne pas donner de soucis au autres. Que l'on ne supporte plus sa vie est une chose. Que l'on gache celle des autres en est une autre.

Mon dernier rêve était assez simpa. Un nuage noir était au dessus de mon lit, il m'a saisie par les pieds et m'as trainer dans les airs à travers la maison. Aprés avoir croisé mon père dans les escaliers. je me suis reveillé dans mon lit. Et le nuage était encore là. Pas décidé à me démonter. Je me suis rendormis paisiblement ... Mais qu'étais ce nuage noir que j'ai modélisé... Est qu'est ce qui ce cache la dessous. La peur grâve plus fortement nos expériences que n'importe quel autres sentiments. je verais bien.
Par Janus - Publié dans : I chapitre: Terreur
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Samedi 20 juin 6 20 /06 /Juin 23:59
La soumission. Drôle de comportement auquel tous être humain est sujet en permanence de par ça nature. L'homme nait libre. Comme l'arbre nait libre. libre et enchainé à ces besoins et au sol. Ce paradoxe n'est-il pas tordant ? Libre de subir ce qui était déja là avant lui. Libre comme l'air qui reste enchainé à la planète par les loi de la gravité. Libre comme l'espace infinie qui s'étend dans un néant qui le définit. Comble de l'illusion. Ce qui est. n'est que parce qu'il est soumis. être, c'est se soumettre pour être considéré. Je ne suis rien et je n'ai besoin de rien. Venerez moi comme un monument à la liberté. Ou haissé moi comme un mémorial à l'abandon. Je m'en contre fout. Il a fallut un néant pour contenir l'espace, Une énergie pour contenir la matière, un corp pour contenir mon âme. Et aujourd'hui qu'est ce qui me retiendra ?
Par Janus - Publié dans : préface de l'âme
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Lundi 15 juin 1 15 /06 /Juin 15:14
La mer est un monstre magnifique.
Merveille de la nature elle n'a pas de frontière.
Elle est libre de s'étendre jusque sur les plages.
Ramassant ce qui lui plait et chariant toute sorte de coquillage.

Encore plus libre. Le ciel.
Qui composé d'oxygène est présent en toute chose.
Il se pare de millier de couleur .
Ne connaissant aucune frontière.
Il glisse le long de la peau, imprenable.
Si doux et agréable il nous donne la sensation de flotter.
Irrissant parfois notre peau comme pour déployer nos ailes.
Il est subtile et délicat.

Tout ceci est magnifique

Sentez vous le courage et la force qu'inspire ces élements.

Maintenant, si vous vous sentez assez fort.
Déployé donc votre âme pour profiter de mes mots.
Et si vous vous sentez troublé par mes mots.
Je vous pris de vous accrocher, jusqu'au bout.
Je vous fait la promesse d'un cadeau.


L'être que je suis a bien choisis ses pas.
L'un aprés l'autre. Et peu de choses m'on bléssés. Il n'y a que quelques sentiment humain qui son réelement bléssant. La peur, la douleur, le regret. Pourtant c'est en réalité pour ressentir l'impuissance a briser les limites que mon esprit à modélisé ses sentiments. Véritable signal d'alarme de l'âme. Ce n'est que l'expression de quelque chose de bien plus humain. La conscience. Qui comme un guide, nous permet d'apprendre, de comprendre, et d'anticiper.
A l'image du temps qui suis son cour enchainant passé présent et futur à un rythme érfainé.
Mais dans un plan ou le passé est fixe voir même néant, un plan où le futur est indéterminé et infinie. Que peut on espérer de l'amalgame qui lie les deux. Mélange de ces deux monstres de perfection capable de voir naitre en leur sein des notions inconnues de la physique. Si rien ne se crée et si rien ne disparait. Ou est donc mon passé et que fais donc mon futur ?
Comment se satisfaire de ces limites qui nous prennent à la gorge et noie notre conscience. Ou est la liberté quand le passé est fixé et le futur si vaste. A chaque pas c'est un tapis de ronce qui m'attend et avec le chemin parcouru c'est autant de roncier qui se dressent dèrriere moi.
Une direction, et prés de 7 milliard de chemins. La toile ce tisse encore et encore.
Et le but reste toujours le même donner l'illusion d'une toile parfaite. Chaque brin s'entrelace puis se sépare, formant un tapis aux motifs étranges. Lorsque l'on regarde cette oeuvre on aperçois les dérives du temps. Les brins qui au fil du temps ont perdu leurs couleurs. Ceux qui on laisser des trous dans la toile. Et ceux qui tellement abimé par la dureté de certains ne peuvent plus se frotter au autres sous peine de s'efilocher pour de bon.
Pourtant il n'y a personne au commande de cette toile. Chaque brin prend la direction qu'il veut. Choisissant tel ou tel trajet, pour tel ou tel raison. C'est cela qui a toujours fait defaut. L'illusion d'égallité. Les hommes naissent égaux. Est-ce vrai ? existe t'il un moyen de faire une lanière de cuir d'un brin de soie. Et le cas échéant, peut on faire les mêmes chose de cette lanière de cuir que celle que l'on aurai pu faire de ce brin de soie 

Merci à toi qui m'a ouvert les yeux.
 
Par Janus - Publié dans : préface de l'âme
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Samedi 13 juin 6 13 /06 /Juin 14:48
La vérité est une lumière qui éclaire nos pas.

Mais le vampire moderne la craint bien plus que n'importe quoi.

J'ai souvenir du flux acide qui remonte mes entrailles, de la pression qui s'impose dans mon crâne poussant mes yeux au frontière de mes paupières.
Des muscles qui se redissent au moment du passage de ce poison dans les veines.
Même le coeur n'est pas épargné.

 Et ces mots qui s'accumulait derrière mes lèvres, comme un venin qui ne demande qu'à jaillir dans les chaires de la victime...

Mais le plus terrible c'est la douleur de cette vérité qui tire le monstres du luxe de ça lumière artificiel et satiné.
Mettant à nue ses chaires.
Dévoilant la nature de son coeur aux autres.


 Mais surtout à lui même.

Au final dois-je me réfugier sous cette lumière artificiel ou laisser les autres m'en tiré quand eux ne supporterons plus l'odeur de la bête. Car il n'y as bien que son odeur que l'on supporte sans réagir.
Par Janus - Publié dans : préface de l'âme
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